L'Invariance universelle.

Cette représentation entièrement virtuelle de la réalité humaine n'existe que par les contrastes perceptibles peints sur le mur uniforme de la ville.

 

Tags de rue. Ville de Thiers.

De l'uniformité homogène du fond lisse et alors invisible se détache, se distingue le contraste granuleux du mur; granulositées plus ou moins perceptibles selon la focale de l'appareil photographique déterminant l'échelle de Lecture.

Les Invariants.

Ces passes-murailles sont pour la plupart des invisibles. Ils ne s'affichent jamais et se terrent définitivement dans les fonds et les bas fonds. Aussi l'univers "inertiel" Galiléen se construit autour de ces invisibles et de leurs absences irréductibles.

Aucun ressenti, aucune mesure, aucune expérience, aucune observation ou analyse ne captent la présence de l'absent; et c'est définitif dans l'univers de l'invariance.

Aussi le monde de l'invariance Galiléenne, celui de l'inertie n'accepte que les mouvements uniformes rectilignes ou concentriques; les mouvements sans accélération ou décélération - les mouvements invariants.

Aussi les mouvements inertiels constamment uniformes sont toujours imperceptibles et inaccessibles. La géométrie décrivant l'univers inertiel de Galilée est Euclidienne et dessine un monde hautement rigide et indéformable.

Dans l'univers inertiel Galiléen les Trajectoires sont droites ou rectilignes et parallèles ou en cercles concentriques. Ici l'angle droit se respecte et la somme des angles intérieurs d'un triangle fait toujours 180° ! Les verticales se distinguent des horizontales et le théorème de Pythagore a²+b²= c² y est constamment valide.

Il y a ce que l'on voit; et il y a ce que l'on ne voit pas, définitivement.
Il y a l'accessible et il y a l'inaccessible.

Les symétries invariantes.

"La notion de symétries joue un rôle fondamental dans la description (du fonctionnement) de la nature". [Hubert Reeves. La première seconde. Points Sciences. Les Symétries invariantes].

 En particulier les "Symétries invariantes" s'imposent... par l'absence d'effets perceptibles et mesurables impactant le réel; une absence liée à l'invariance des phénomènes physiques en symétrie-inverse.

Il résulte de la symétrie-inverse invariante spécifique à la géométrie Euclidienne et aux mouvements inertiels - aux mouvements invariants l'état de repos ou celui de l'immobilité. Aussi dans cette optique l'immobilité est un mouvement uniforme constamment imperceptible, un "mouvement définitivement invisible et dès lors absent du monde". Et cette qualité est universelle.

La physique relativiste Galiléenne (Italie. 1632) affirme l'immobilité comme un mouvement uniforme, régulier et invariant... échappant dès lors définitivement aux observateurs et à toutes les mesures même les plus fines.

Les rotations en symétrie-invariante. Les "rotations" invariantes ne changent pas l'apparence (extérieure) de l'objet mesuré ou observé. "Ces opérations physiques sont neutres dans leurs conséquences et leurs effets". [Hubert Reeves. La première seconde.1995].

Aussi les rotations du cercle autour d'un axe central ne change jamais son aspect "extérieur". Par contre les rotations du carré sur lui-même ne sont invariantes que pour les rotations de 90° d'arc... tandis qu'à 45° d'arc la rotation s'observe et charivarie.

S'impose en physique relativiste les "Groupes" de Transformations invariantes. Ces Transformations invariantes n'impactent pas le "réel" et échappent dès lors aux mesures les plus fines.

La Transformation invariante de Galilée.

La Transformation "invariante" de Galilée (Italie.1632) puis celle de Lorentz-Poincaré (1903-1904) préservent la symétrie-inverse des objets en mouvements inertiels. Ces Transformations imposent à la cinématique Galiléenne les mouvements rectilignes ou concentriques uniformes comme des objets invariants et dès lors universellement invisibles. Aussi les mouvements uniformes ne délivrent aux Observateurs_ tateurs même les plus attentifs que leurs effets relativistes inertiels toujours analogues à l'immobilité ou au repos.

Les systèmes inertiels Galiléens.

Aussi les "points de vue" inertiels Galiléens en mouvements uniformes sont par nature immobiles. Les points de vue inertiels "conjugués entre-eux" composent les systèmes inertiels Galiléens immobiles dans l'espace et indéformables dans leur articulation propre.

Ces "points de vue" inertiels toujours étroitement conjugués entre-eux s'articulent constamment autour d'une symétrie-inverse. Cette symétrie interne propre aux systèmes inertiels "duels" se préserve dans la Transformation invariante de Galilée et de Lorentz qui respectent l'état (l'équilibre) inertiel des points de vue.

Les mouvements inertiels uniformes s'opposent par l'absence d'effets relativistes perceptibles aux mouvements non-inertiels (les mouvements accélérés ou décélérés- les mouvements variables) dont les effets sont constamment perceptibles et mesurables.

Les mouvements uniformes rectilignes ou concentriques. Les effets relativistes perceptibles des mouvements inertiels sont l'immobilité ou le repos. Dans cette optique l'immobilité ou le repos est un "mouvement" invariant et imperceptible; c'est-à-dire invisible et non mesurable - et définitivement inaccessible.

Les points de vue inertiels immobiles. Les "points de vue" inertiels Galiléens persistent et résistent dans leur immobilité lors de la Transformation invariante de Galilée ou de celle de Lorentz. Et Galilée ne s'en est point privé de ces permutations "neutres et invariantes". Et voilà que je t'ajoute de la distance parcourue à vitesse uniforme +Δut... et voilà que je te retranche de la distance parcourue à vitesse uniforme -Δut... en symétrie-miroir (inverse).

Les équations de transformations de Galilée. (Italie. 1632).

x= x'+ut'
x'= x- ut

Δu : un "différentiel-vitesse" constant [invariant] sépare les mobiles en mouvements inertiels uniformes dans l'espace Euclidien rigide et plat. L'amplitude de l'Intervalle Δuest celle de la symétrie-miroir, l'épaisseur de l'Interface double-face séparant et articulant les points de vue inertiels entre-eux.
+ ut : le terme invariant riche de symétrie-inverse ou miroir +

A l'inverse les inconnues x et x' définissant la position des différents points de vue inertiels sont les variables de la Transformation. Dans une "Transformation de Groupe" invariante... il y a des choses qui ne changent pas et sont d'une qualité universelle et des choses dont le changement "localisé" s'observe et peut alors se mesurer.

La nature se livre à notre insu à une valse permanente de constantes invariables et de variables... variables.

Des référentiels universels immobiles.

Les points d'espace en équilibre inertiel sont reconnus universellement immobiles ets'affirment dès lors comme points de repères ou comme référentiels à la géométrie Euclidienne dans un unvers plat et clos. Ils s'imposent comme repères "objectifs", valides et universels pour les mesures et les expériences... et pour les observations.

"Donnez-moi un point d'Appui et je soulèverais le monde". Archimède. (Syracuse.-IVe siècle).

Et voici belle réponse apportée à la supplique d'Archimède. Et ce fut Galilée qui s'y colla. Les "Référentiels inertiels" Galiléens immobiles et rigides- indéformables apportent leur légitimité d'êtres universels bien que très localisés dans l'espace et participent pleinement à la construction du réel.

Dès lors nos ressentis se plient constamment à l'absence (universelle) de perception des mouvements inertiels; ainsi la planète Terre est-elle parfaitement et définitivement immobile... pour l'ensemble de ses habitants... sauf pour un instant, un instant seulement pour Neil Armstrong et Aldrin... le 20 juillet 1969.

Vol de canard en mouvement accéléré uniforme.

La vitesse de la lumière.
La vitesse de la lumière c est un Invariant universel.

Les "ondes" se propagent dans le vide à une vitesse maximum constante, invariante et plafonnée; et légèrement siphonnée égale à c = 299 792,458 kilomètres seconde. Cette valeur maximum est la vitesse de propagation de la lumière et des ondes électromagnétiques dans le vide. Dans les autres milieux de propagation cette vitesse est "ralentie"... par l'air, par le verre ou l'eau... elle décélère sans en avoir l'air.

De même les "ondes de matière" conçues en 1924 par le Français Louis de Broglie et les ondes Gravitationnelles prévues par Albert Einstein dans sa théorie relativiste Générale (Allemagne. 1915) se propagent dans le Tissu espace//temps à la vitesse maximale cosmique c; celle invariante de la lumière dans le vide.

C'est sûr, l'on s'enfonce dans l'habituel.

Sabine AZEMA. Résiste. 0,50"

https://www.youtube.com/watch?v=u6nWG6Lr0KQ

 

Un hibou (intérieurement) en repos, immobile sur sa branche, immobile.

Le monde inertiel Galiléen est celui de l'Invariance et de l'immobilité. Il est également celui de la rigidité et de l'indéformabilité. Il en résulte le repos qui est l'expression univoque et universelle d'un "équilibre" inertiel fondamental. L'état de base relativiste [composite] d'un mouvement inertiel est celui de "moindre énergie". Ce mouvement de base profondément régulier s'exprime à notre entendement par l'immobilité ou le repos; voire le fixe.

LUCY d'Enfer. Le 4 Avril 2022. Et encore une qui oscille dangereusement immobile sur son canapé.